petit rp au cas ou

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Ce matin, le soleil m'avait sortit du sommeil. Déposant ses rayons sur mon visage, chauffant doucement ma peau. J'avais ouvert avec peine mes yeux afin d'apercevoir l'heure sur mon radio-réveil. Sept heure était affiché. J'avais poussé un soupire et avait enfouie ma tête sous mon oreillé. Je n'avais que rarement des journées de congés et lorsque j'en avais, j'aimais rattraper les longues nuit s sans dormir que j'avais perdu en travaillant à l'hôpital. Malheureusement, il m'étais souvent difficile de changer mes habitudes. Mon organisme s'était définitivement réglé pour que je ne dorme pas plus de sept heures, ce qui était devenu pour moi, énorme. J'avais beau tenté de me rendormir, rien n'y faisait. Soudain, le chant des oiseaux se faisait entendre dans mes oreilles, j'entendais les voitures klaxonner et tout les bruits possible s’amplifiait pour me forcer à me lever. C'était épuisant.

J'avais donc balancer ma couverture par terre. J'avais grogné tout en me rendant dans ma salle de bain. Seul moment de détente que j'adorais, prendre un bon bain relaxant. Le stress s’échappait et les pensées également, j'étais bien. Mais bien évidemment, toute les bonnes choses ont une fin. Mon téléphone retentit ce qui me sortit de ma zénitude. J'avais froncé des sourcils et n'avait pas dénié répondre. Je m'étais habillé tranquillement, m'étais coiffé en relevant mes cheveux et m'étais maquillée en deux temps trois mouvements. Puis je m'étais enfin décidée à aller voir qui était l'affreuse personne qui avait osé brisé mon moment de sérénité. J'affichais une mine mécontente en prenant mon téléphone, mais mon visage laissa place à un merveilleux sourire en voyant le prénom de Roméo s'afficher sur mon écran. Je me demandais bien pourquoi je n'avais pas deviné avant que c'était lui la personne qui me dérangeais. Il n'y en avait qu'un pour faire ça. Je l'avais donc rappelé tout en prenant mon café matinal, lui disant que j'avais prévu de me rendre au centre commercial, histoire de faire des dépenses.

Je ne mis pas longtemps avant d'arriver au centre commercial. Ce dernier ne se trouvait pas loin de chez moi, c'était l'idéal. J'avais attrapé mon sac à main et avait commencé par toute les boutiques de chaussures. Dieu sait que les chaussures était toute ma vie et que mon argent y passait toujours. Ma fois, après plus de deux heures passé à marcher à droite à gauche, je me fis une remarque à moi-même, me rappelant de ne jamais mettre de talons pour faire les boutiques. Je souffrais le martyr et arriver devant la boutique H&M, je décidais de ne pas y rentrer mais de m'asseoir devant la boutique afin d'enlever ces affreuses chaussures.